L’alternance des vagues
Soul's Bloom
L’alternance des vagues, danse avec la vacuité

Dans le silence d’un instant où le souffle se pose et le cœur s’apaise, une vérité s’élève, douce comme une plume portée par le vent. Les pensées de bonheur et de souffrance, les élans du désir et les ombres de l’aversion, ne sont qu’une danse. Elles surgissent, s’entrelacent, puis s’effacent. Observe ce jeu qui n’est rien d’autre que l’éclat mouvant de la vacuité. Cette lumineuse essence de l’esprit. Rien à saisir. Rien à repousser... Tout est lumière... Tout est mouvement.
Contemple une pensée de joie. Elle brille tel un rayon de soleil perçant les nuages réchauffant l’âme d’une douce promesse. Une ombre passe... une souffrance, un manque, une aversion. Elle semble lourde. Savoure sa nature éphémère. Comme une vague, elle s’écrase et retourne à l’océan. Ni le bonheur ni la souffrance n’ont de substance propre. Ils ne sont que des reflets dans l’eau, des motifs tissés par l’esprit, des éclats d’une vacuité radieuse qui ne s’attache à rien.
Cette alternance, ce flux incessant, n’est pas une lutte à mener mais une danse à embrasser. L’esprit, dans sa clarté originelle, est un miroir sans tache. Les pensées, qu’elles chantent la joie ou murmurent la peine, ne sont que des ombres passagères. Observe-les sans chercher à les fixer, sans vouloir les fuir. Elles naissent. Elles dansent. Elles s’effacent. Dans cette contemplation, une liberté s’ouvre vaste comme un ciel sans fin. Savoure l’espace qui s’étend entre chaque pensée. Cet intervalle où l’esprit repose en lui-même, nu, lumineux, infiniment paisible.
Mais combien est il humain de s’accrocher ! Le désir nous attire, l’aversion nous repousse. Nous courons, avec la croyance que le bonheur se trouve dans une pensée, une sensation, un moment à retenir. Pourtant... plonge dans la vacuité. Goûte son mystère. Rien n’est solide, rien n’est séparé. Le bonheur n’est pas plus réel que la souffrance, tous deux sont des vagues, des jeux de lumière sur la surface de l’esprit. En les regardant sans saisir, sans rejeter, tu découvres une félicité plus profonde, une joie qui ne dépend d’aucune condition, d’aucun objet. Elle est là... dans la nature même de l’esprit, pure, inaltérée, éternelle.
Cette contemplation est une caresse. Une pensée surgit ? Accueille-la. Une douleur s’invite ? Regarde-la. Une aspiration éclot ? Laisse-la être. Ne cherche pas à altérer ce qui se manifeste. Observe sa nature, fluide, insaisissable, comme un rêve qui s’efface au réveil. Savoure la paix qui naît de cette vision. Goûte la grande félicité qui se révèle lorsque l’esprit, libéré de ses chaînes, se reconnaît comme un espace sans limite, un éclat d’infini où tout danse sans jamais se fixer.
Prends un instant, maintenant. Ferme les yeux. Observe une pensée de joie, de peine, de désir, d’aversion. Observe la surgir, briller puis s’évanouir. Ne la retiens pas. Ne la repousse pas. Savoure son mouvement. Goûte la lumière qui reste, cette vacuité lumineuse où l’esprit repose, libre, vaste, en paix. Car dans cette alternance, dans ce jeu des vagues, se trouve une vérité simple : tu n’es pas les pensées qui passent. Tu es l’espace infini qui les accueille, vibrant de félicité, dansant dans l’éclat doux de l’éternel.
Soyons fous, soyons "sages"... rions joyeusement de nos sérieux éphémères.
Elsa - Soul's bloom- 2025
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Quand l’automne drapé de brumes fraîches enlace la terre, la peau, tel un feuillage délicat, peut s’éteindre sous le voile de l’humidité et du froid. Terne, rugueuse, elle appelle un rituel doux, vibrant, pour raviver son éclat. Inspiré par les murmures de la nature et les savoirs ancestraux, ce gommage à la citrouille et à la cannelle est une caresse poétique, un élixir d’automne pour choyer votre enveloppe charnelle. Les présents de la terre : les ingrédients Dans ce ballet végétal, chaque ingrédient chante sa partition : 3 cuillères à soupe de purée de citrouille, joyau doré des champs d’octobre, gorgée de vitamines A et C. Telle une brise légère, elle exfolie en douceur et offre ses antioxydants pour protéger la peau des caprices du vent automnal. 2 cuillères à soupe de sucre de canne, cristaux bruts nés de la sève sucrée, qui dansent sur la peau pour polir délicatement ses aspérités. 1 cuillère à café de cannelle en poudre, épice chaude au souffle vivifiant, qui réveille la circulation et ranime l’éclat, comme un feu follet dans la forêt. 1 cuillère à soupe d’huile de coco, nectar soyeux des tropiques, qui enveloppe la peau d’un voile hydratant et protecteur, tel un cocon de douceur. Une alchimie sensorielle Dans un bol de bois ou de terre, mêlez ces trésors avec soin, jusqu’à ce qu’une pâte onctueuse naisse sous vos doigts. Sous la douche, lorsque l’eau tiède murmure sur votre peau, offrez-lui ce baume automnal. Appliquez la préparation en mouvements circulaires, comme une danse lente et bienveillante, laissant chaque grain caresser et réveiller l’épiderme. Puis, rincez abondamment, laissant l’eau emporter les impuretés et révéler une peau neuve, vibrante . Une renaissance automnale Ce gommage, tel un poème gravé dans la chair, libère la peau des cellules mortes, polissant son grain avec une tendresse infinie. La citrouille, étoile des récoltes, infuse ses vertus antioxydantes, dressant un rempart contre les assauts du froid. La cannelle, épice ardente, stimule la circulation, ravivant l’éclat comme une aube dorée. L’huile de coco, fidèle gardienne, hydrate et protège, laissant la peau douce comme une feuille caressée par la rosée. Une fois par semaine, offrez-vous ce rituel pour une peau lumineuse, prête à danser sous les rayons pâles de l’automne. Que ce gommage soit une célébration de la saison, un instant où votre corps s’accorde aux rythmes de la terre, vibrant au diapason de ses couleurs et de ses parfums.

Ce matin, une douce impulsion me guide à partager avec vous une pratique vocale d’une simplicité désarmante, mais d’une profondeur insoupçonnée. Le fredonnement, ce doux murmure intérieur, est bien plus qu’un simple son : c’est une clé pour harmoniser le corps, l’esprit et l’âme. Accessible à tous...

Dans le sublime silence, là où le monde se tait et se replie sur lui-même, un point émerge. Un point, si petit, si discret, pourtant si vaste dans son essence. Il est le commencement, l’écho d’une rencontre entre un outil et une surface, entre l’intention et la matière. Ce point, isolé, solide, stable, immobile, porte en lui l’introversion d’un univers en gestation. Il ne crie pas, il ne s’impose pas, il est, simplement. Ce point... est l’étincelle de l’être. Il ne cherche pas à se justifier car il est déjà complet. Pourtant, dans son immobilité apparente, il vibre d’une nécessité intérieure, une pulsation silencieuse qui murmure : "crée, deviens, révèle". De cette graine minuscule naît une œuvre, une expression de l’âme qui se déploie sans effort, comme une rivière suit son lit naturel. L’autonomie du point n’est pas une solitude froide, mais une liberté féconde, un espace où tout peut advenir. Dans ce silence, il n’y a ni urgence ni manque. Le point ne court pas après le monde car le monde est déjà en lui. Il est l’origine et la destination, le commencement et l’achèvement. Lorsqu’il s’ouvre, il ne se perd pas... il se donne. Et dans ce don, une œuvre prend forme, non pas pour prouver, mais pour chanter l’évidence de l’être. Ainsi, dans la simplicité d’un point, tout est dit. Il suffit de s’arrêter, d’écouter, de sentir. La surface matérielle n’est qu’un miroir ; l’outil, une extension de la main intérieure. Et l’œuvre ? Elle est le souffle de l’éternel, dansant dans le temps, née d’un silence qui jamais ne s’éteint.

Je vous propose une recette de boules d’énergie conçue pour nourrir le corps et l’esprit tout en respectant l’équilibre énergétique naturel. Ces petites bouchées sont une alternative saine aux snacks industriels, idéales pour un regain d’énergie durable lors des pauses au travail, à l’école ou après...




