Macérat de roses
Soul's Bloom
Macérat de Rose : Une Recette Facile et un Vrai Cocon de Douceur pour la Peau et le bien-être

Le macérat de rose, un secret bien gardé pour se sentir bien dans sa peau... au sens propre comme au figuré ! La première fois que cette huile infusée aux pétales de rose a été découverte, l’émerveillement était au rendez-vous. Sa simplicité et ses bienfaits sont incroyables. Comme un bout de nature qui s’invite dans la routine, un geste tout doux qui fait du bien. Si l’envie de se lancer dans un soin naturel, facile à faire et qui sent divinement bon est là, cet article est parfait.
Le macérat de rose, c’est quoi au juste ?
Une poignée de pétales de rose qui se reposent sereinement dans une huile douce, comme s’ils prenaient un bain de soleil. Peu à peu, les pétales libèrent leurs secrets : des vitamines, des antioxydants... et une odeur qui transporte à chaque fois.
Après quelques semaines, l’huile devient un trésor, un soin naturel parfait pour la peau et même pour l’humeur.
Observer comment des ingrédients si simples peuvent devenir aussi précieux est presque magique.
Pourquoi ce macérat devient vite un chouchou
Voici pourquoi ce macérat trouve une place spéciale dans la vie de celles et ceux qui l’essayent :
1. Il apaise la peau (et l’esprit avec !)
Les jours où la peau fait des siennes (rougeurs, tiraillements, ou juste cette sensation de fatigue) le macérat de rose est là pour tout calmer... telle une une caresse, un moment de répit. Et puis, son parfum… Il enveloppe et détend instantanément.
2. Il hydrate sans alourdir
Pour les peaux un peu sèches, surtout en hiver, ce macérat fait des merveilles. Quelques gouttes suffisent pour qu’elle soit douce, nourrie, sans cet effet gras que l'on parfois sentir avec certains produits.
3. Il donne un glow naturel
Grâce aux antioxydants ou à la magie des roses, la peau retrouve un éclat qu’elle n’avait pas avant.
4. C’est un rituel anti-stress
Le soir, après une journée interminable, s’offrir un petit massage avec ce macérat devient un moment précieux. Fermer les yeux, respirer cette odeur de rose, et sentir tout le stress s’envoler, c’est comme une bulle de douceur.
La rose dans les temps anciens : un trésor intemporel
Les roses, ce n’est pas juste une histoire d’aujourd’hui. Depuis des siècles, voire des millénaires, elles fascinent et soignent. En Perse, l’eau de rose était déjà un incontournable pour apaiser la peau et parfumer les plats, un vrai symbole de luxe et de bien-être. Les Romains parsemaient leurs lits de pétales pour favoriser la détente. Les médecins de l’époque préparaient des onguents à base de rose pour calmer les inflammations. Au Moyen Âge, les roses étaient cultivées dans les monastères pour leurs vertus médicinales. Elles étaient utilisées pour soulager les maux de tête, soigner les blessures ou apaiser les esprits agités... En Inde, dans la tradition ayurvédique, les pétales de rose sont toujours mélangés à des huiles pour équilibrer les énergies et nourrir la peau. Ces pratiques ancestrales démontrent à quel point la rose a toujours été bien plus qu’une fleur : un soin, un rituel, une connexion profonde avec la nature.
Zoom sur Cléopâtre : la reine des roses
Cléopâtre, la légendaire reine d’Égypte, dont l’amour pour les roses est presque mythique. Elle était obsédée par leur parfum et leurs bienfaits au point d’en faire un pilier de ses rituels de beauté. Lors de ses bains, elle y ajoutait des pétales de rose et du lait d’ânesse pour garder sa peau douce, éclatante et hydratée. Ces bains étaient une manière de tirer parti des propriétés apaisantes et régénérantes des roses. Cléopâtre utilisait leur parfum pour séduire et impressionner. Lors de sa première rencontre avec Marc Antoine, on raconte qu’elle avait fait remplir son bateau de pétales de rose, créant une atmosphère envoûtante. Les voiles étaient même imbibées d’eau de rose pour que le parfum flotte dans l’air. Ce n’était pas juste une question d’esthétique. Les roses étaient pour elle un symbole de pouvoir, de féminité et de connexion avec le divin. Ainsi, elle cultivait une image de reine intemporelle.
Une recette toute simple pour un macérat de rose maison
Pas besoin d’être un expert en DIY pour se lancer, promis ! Cette recette est un jeu d’enfant. Il y a quelque chose de tellement gratifiant à fabriquer son propre soin, comme si on marchait sur les pas de Cléopâtre et de nos ancêtres. Voici comment faire :
Ce qu’il faut :
- Une poignée de pétales de rose (bio, c’est mieux, pour éviter les produits chimiques). Utiliser celles du jardin rend le geste encore plus spécial.
- Une huile douce (l’huile d’amande douce est top, mais l’huile de jojoba ou même d’olive fonctionne bien)
- Un bocal en verre propre (recycler ceux des confitures, c’est parfait)
- Un peu de patience mais promis, ça en vaut la peine !
Comment faire :
- Préparer les pétales
: S’assurer qu’ils sont bien secs. Si les cueillir soi-même, les laisser sécher une journée au soleil. Ça rappelle les après-midi dans un jardin entouré de roses.
- Remplir le bocal
: Mettre les pétales dans le bocal, pas trop tassés, et verser l’huile jusqu’à ce qu’ils soient bien recouverts. C’est déjà joli à regarder, ces pétales qui flottent dans l’huile !
- Laisser infuser
: Fermer le bocal et le mettre dans un coin sombre, comme un placard. Tous les jours, le secouer doucement, comme pour dire aux pétales : « Allez, partagez vos secrets ! » Ça prend 3 à 4 semaines, mais ça passe vite.
- Filtrer et conserver
: Une fois le temps écoulé, filtrer l’huile avec un tissu propre (ou une passoire fine, si le temps presse). Mettre le macérat dans un petit flacon, et voilà, c’est prêt !
Astuce : Ajouter parfois quelques gouttes de vitamine E pour qu’il se conserve plus longtemps.
Comment intégrer ce macérat dans la vie ?
Le soir, sur le visage : Quelques gouttes sur une peau propre, et masser doucement. C’est un moment préféré de la journée.
Sur les mains ou les coudes : Parce qu’ils méritent aussi un peu d’amour, surtout quand ils sont secs.
En massage : Demander à quelqu’un de masser le dos avec, et c’est juste divin.
Quelques petites précautions (parce qu’on n’est jamais trop prudent)
Même si c’est naturel, toujours faire un test sur le poignet avant d’en mettre partout, juste au cas où. Choisir des pétales bio pour être sûr qu’il n’y a rien de chimique. Si jamais le macérat change d’odeur ou d’aspect, le jeter, mieux vaut prévenir que guérir !
Pourquoi essayer (vraiment, essayer !)
Fabriquer son propre macérat de rose change la façon de voir les soins. C’est simple, économique, et surtout, c’est un moment pour soi. Chaque fois qu’il est utilisé, on se sent connecté à la nature, à soi-même, et même à ces anciennes traditions qui ont traversé les siècles... celles de Cléopâtre, des Perses, des Romains. Et puis, ce parfum… Il ramène à des souvenirs d’enfance, à des instants de douceur.
Alors, si l’envie de s’offrir un soin qui fait du bien à la peau et au cœur est là, lancer-vous.
Soyons fous, soyons "sages"... rions joyeusement de nos sérieux éphémères.
Elsa - Soul's bloom- 2025
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Quand l’automne drape le monde de ses brumes et de ses pluies, les cheveux, tels des feuillages délicats, s’alourdissent sous l’humidité. Ils se ternissent, se fragilisent, comme des pétales ployés par la rosée. Mais la nature, dans sa sagesse infinie, offre des remèdes tissés de ses propres trésors. Voici un spray capillaire, né de l’alliance poétique de la prêle et du romarin, pour envelopper votre chevelure d’une armure végétale, éclatante de vitalité. Une réponse aux caprices de l’automne Sous les cieux gris et les averses capricieuses, les cheveux souffrent, perdant leur lumière et leur vigueur. La prêle, humble gardienne des sols, gorgée de silice, vient fortifier la fibre capillaire, tandis que le romarin, vibrant d’énergie, réveille le cuir chevelu et ravive l’éclat. Ensemble, ils tissent un voile protecteur, une caresse végétale pour contrer la rudesse de la saison. Les ingrédients, dons de la terre 100 ml d’infusion de prêle : Telle une armure forgée dans les profondeurs de la terre, la prêle, riche en silice, renforce chaque mèche, lui offrant résilience et souplesse. 50 ml d’infusion de romarin : Ce feuillage aromatique, baigné de soleil, stimule la pousse et pare les cheveux d’une brillance digne des étoiles. 1 cuillère à café de vinaigre de cidre : Tel un alchimiste, il équilibre le pH, lisse les cuticules et fait scintiller la chevelure comme un ruisseau sous la lune. 5 gouttes d’huile essentielle d’ylang-ylang : Une goutte de poésie exotique, nourrissante et envoûtante, qui parfume chaque vaporisation d’une douceur florale. Une danse avec la nature Dans une casserole, laissez chanter 200 ml d’eau pure, puis invitez 2 cuillères à soupe de prêle séchée et 1 cuillère à soupe de romarin séché à s’y plonger. Portez à ébullition, puis laissez infuser 15 minutes, comme un poème qui prend son temps pour éclore. Filtrez ce nectar végétal avec soin, recueillant son essence dans un récipient propre. Une fois refroidi, mêlez-y le vinaigre de cidre et les gouttes d’ylang-ylang, comme des perles précieuses tombant dans une fontaine. Versez ce philtre dans un flacon spray immaculé, prêt à dispenser sa magie. Un souffle de vitalité Vaporisez cet élixir sur vos cheveux, qu’ils soient humides ou secs, comme une brise d’automne caressant les feuilles. Chaque gouttelette dépose un bouclier de force et de lumière. Conservez ce trésor au frais et utilisez-le dans les 5 jours, car la nature, dans sa fraîcheur, offre ses bienfaits les plus purs. Les bienfaits, une ode à la chevelure La prêle, telle une tisseuse patiente, renforce la fibre capillaire, la rendant aussi robuste qu’une tige dans le vent. Le romarin, vibrant d’énergie, stimule le cuir chevelu, éveillant la pousse comme un bourgeon au printemps. Le vinaigre de cidre, discret mais puissant, lisse et fait scintiller, défiant l’humidité automnale. Ensemble, ils composent une symphonie végétale, une ode à la beauté naturelle de vos cheveux. Avec ce spray, laissez votre chevelure danser sous la pluie, forte, brillante et libre, comme une forêt embrassée par l’automne.

Quand l’automne drape le ciel de ses voiles gris et que la pluie murmure des mélodies mélancoliques, le corps et l’âme soupirent parfois d’épuisement. Les jours raccourcissent, le froid s’invite, et le moral vacille comme une feuille dans le vent. Pourtant, dans l’intimité d’un bain chaud, les plantes, gardiennes de la terre, tissent un cocon de douceur pour apaiser ces tourments. Voici une recette naturopathique, empreinte de poésie, pour un bain relaxant aux herbes d’automne, une ode à la détente et à la reconnexion. Ingrédients, présents de la nature Dans ce rituel, chaque élément est une caresse végétale, un murmure de la forêt et des champs : Deux poignées de feuilles de sauge séchées , sagesse ancienne, purificatrice des corps et des âmes, dont le parfum boisé chasse les ombres de l’esprit. Une poignée de fleurs de camomille séchées , pétales dorés, tels des soleils miniatures, qui apaisent les tempêtes intérieures et bercent les pensées agitées. Une poignée de sel d’Epsom , cristaux de la terre, alliés des muscles endoloris, libérant le corps de ses tensions comme une rivière emporte les feuilles mortes. Cinq gouttes d’huile essentielle d’orange douce , essence lumineuse, gouttelettes de soleil liquide, qui réchauffent le cœur et dissipent le voile du spleen automnal. Préparation, un rituel sacré Tel un alchimiste des sous-bois, préparez votre élixir de sérénité : - Réunissez les feuilles de sauge et les fleurs de camomille, et glissez-les délicatement dans un sachet de mousseline ou un filtre à thé, comme un bouquet offert à l’eau. - Faites couler une eau chaude, dont la vapeur s’élève en volutes dansantes, et plongez-y le sachet d’herbes, laissant leurs arômes se mêler à l’onde. - Dispersez le sel d’Epsom, qui fond comme une promesse de légèreté. Juste avant de vous immerger, versez les cinq gouttes d’huile essentielle d’orange douce, perles d’ambre qui éclatent en une fragrance chaleureuse. - Glissez-vous dans ce bain, offrez-vous vingt minutes de pause, et laissez chaque inspiration profonde tisser un lien entre vous et les murmures de la nature. Bienfaits, une étreinte végétale Ce bain est une célébration, un poème liquide où chaque ingrédient joue sa partition. La sauge, purificatrice, équilibre les émotions, tandis que la camomille, douce comme une comptine, apaise les tourments de l’âme. Le sel d’Epsom, tel un vent léger, relâche les nœuds du corps, préparant la peau à braver les frimas. Et l’orange douce, rayon d’automne, enveloppe le cœur d’une chaleur réconfortante, chassant la grisaille intérieure. Dans ce bain, le temps s’arrête, l’automne devient une alliée. Chaque goutte d’eau, chaque effluve végétal, vous ramène à l’essentiel : un instant de paix, un retour à soi, enveloppé par la tendresse des plantes. Fermez les yeux, écoutez le chant de l’eau, et laissez l’automne vous bercer.

Un silence tombe, léger comme la brume qui se lève. Les doutes, les vieilles chaînes familiales ou professionnelles, les anticipations s’évaporent sans bruit. Reste un espace clair, vaste, où l’amour n’a plus à se battre. Il coule, simplement, vers ceux que l’on porte en soi. Un message murmuré nous y conduit : observer ce qui retient, puis laisser filer. "Lâcher le mental au profit de ceux que nous aimons" Pas fuite, mais choix de paix. Les mots durs, les malentendus, les passions mal placées glissent comme l’eau sur la feuille de lotus. Tendre l’autre joue n’est pas "faiblesse", mais présence élevée, lumière qui répond à la confusion par plus de lumière encore. Cesser de tout comprendre, de tout contrôler. L’amour n’a pas de forme fixe. Il est poupée russe infinie, débordement sans mesure. Il nous soulève au-dessus des querelles, nous ouvre à la vastitude des messages qui passent, même embrouillés. Le lâcher-prise devient rosée : il nourrit sans forcer, apaise sans retenir. Regarde les pensées comme des nuages. Elles passent. Tu restes. Imagine cinquante bras qui veulent t’enlacer, mais tu n’en serres aucun. Ce détachement n’est pas froideur ; c’est ouverture. L’amour du Soi, une fois reconnu, se répand sans effort. La peur ? Un bluff. Un " je suis" suffit à tout relier. Prends soin de toi d’abord. Quand tu es plein, tu donnes sans compter. Pas d’amour forcé. Juste un trop-plein naturel. Comme un arc-en-ciel après l’orage, il unit les mains, guérit les terres blessées, relie sans nommer. La raison est muette face à l’amour. Amour, perce-moi. Fais de mon cœur ta demeure. Plus de séparation. Plus d’adieu. Juste l’océan où tout retourne. Oser la puissance intuitive, dépasser les rôles, les projections. Le couple n’est pas contrat, mais mémoire vivante, mère, enfant, père, famille. Le lâcher-prise y est acte de liberté : voir ce qui joue, apaiser le tumulte, laisser couler comme une rivière qui sait d’où elle vient et où elle va. Le monde est illusion de séparation. Lâcher la peur, c’est choisir la joie comme évidence. Chaque pensée libérée est une synapse rendue à l’amour. Chaque lien devient prière vivante. Une seule mélodie : le lâcher-prise n’est pas perte. C’est gain d’immensité. Offrir à ceux qu’on aime non pas nos chaînes, mais l’océan entier de notre présence. Laissez passer le vent. Ce qui reste est amour.

L’art et la spiritualité ont toujours été intimement liés, offrant un espace pour explorer l’âme, l’univers et les mystères de l’existence. Cet article vous invite à découvrir quatre approches artistiques contemporaines, chacune imprégnée d’une essence spirituelle, et à expérimenter ces styles pour nourrir votre propre

Quand l’automne drapé de brumes fraîches enlace la terre, la peau, tel un feuillage délicat, peut s’éteindre sous le voile de l’humidité et du froid. Terne, rugueuse, elle appelle un rituel doux, vibrant, pour raviver son éclat. Inspiré par les murmures de la nature et les savoirs ancestraux, ce gommage à la citrouille et à la cannelle est une caresse poétique, un élixir d’automne pour choyer votre enveloppe charnelle. Les présents de la terre : les ingrédients Dans ce ballet végétal, chaque ingrédient chante sa partition : 3 cuillères à soupe de purée de citrouille, joyau doré des champs d’octobre, gorgée de vitamines A et C. Telle une brise légère, elle exfolie en douceur et offre ses antioxydants pour protéger la peau des caprices du vent automnal. 2 cuillères à soupe de sucre de canne, cristaux bruts nés de la sève sucrée, qui dansent sur la peau pour polir délicatement ses aspérités. 1 cuillère à café de cannelle en poudre, épice chaude au souffle vivifiant, qui réveille la circulation et ranime l’éclat, comme un feu follet dans la forêt. 1 cuillère à soupe d’huile de coco, nectar soyeux des tropiques, qui enveloppe la peau d’un voile hydratant et protecteur, tel un cocon de douceur. Une alchimie sensorielle Dans un bol de bois ou de terre, mêlez ces trésors avec soin, jusqu’à ce qu’une pâte onctueuse naisse sous vos doigts. Sous la douche, lorsque l’eau tiède murmure sur votre peau, offrez-lui ce baume automnal. Appliquez la préparation en mouvements circulaires, comme une danse lente et bienveillante, laissant chaque grain caresser et réveiller l’épiderme. Puis, rincez abondamment, laissant l’eau emporter les impuretés et révéler une peau neuve, vibrante . Une renaissance automnale Ce gommage, tel un poème gravé dans la chair, libère la peau des cellules mortes, polissant son grain avec une tendresse infinie. La citrouille, étoile des récoltes, infuse ses vertus antioxydantes, dressant un rempart contre les assauts du froid. La cannelle, épice ardente, stimule la circulation, ravivant l’éclat comme une aube dorée. L’huile de coco, fidèle gardienne, hydrate et protège, laissant la peau douce comme une feuille caressée par la rosée. Une fois par semaine, offrez-vous ce rituel pour une peau lumineuse, prête à danser sous les rayons pâles de l’automne. Que ce gommage soit une célébration de la saison, un instant où votre corps s’accorde aux rythmes de la terre, vibrant au diapason de ses couleurs et de ses parfums.

Ce matin, une douce impulsion me guide à partager avec vous une pratique vocale d’une simplicité désarmante, mais d’une profondeur insoupçonnée. Le fredonnement, ce doux murmure intérieur, est bien plus qu’un simple son : c’est une clé pour harmoniser le corps, l’esprit et l’âme. Accessible à tous...



