L’Amour de soi
Soul's Bloom
L’Amour de soi, retour à l’essence

Dans le murmure doux d’un cœur qui s’éveille, une vérité scintille, fragile et profonde. L’amour de soi, tel un ruisseau clair, coule au centre de l’être... promesse d’une vie épanouie. Pourtant, dans le tumulte du monde, ce courant est souvent voilé. On le confond avec l’orgueil, l’égoïsme. On le repousse, préférant l’autocritique, l’autosabotage, l’ombre d’un déni qui nous éloigne de nous-mêmes. Cette danse intérieure... un jeu d’illusions où l’esprit, tel un peintre inquiet, esquisse un personnage fait de doutes et de blessures. L’amour de soi n’est pas l’éloge d’un masque, mais la reconnaissance de l’éclat qui pulse en toi, pur, inaltéré.
Le personnage que nous croyons être prend forme dès l’enfance. Des mots entendus, des regards croisés, des instants mal compris tissent une histoire. "Je ne suis pas assez", murmure une voix. "Je ne mérite pas l’amour", insiste une autre. Ces pensées, comme des toiles fragiles, nous enferment dans une identité construite... un rôle que nous jouons sans le savoir. Ce personnage n’est pas toi. Il est un costume, tissé de conditionnements, d’attentes, de peurs héritées. Le déni de soi, loin d’être une faiblesse, est une illusion qui maintient ce rôle, une tentative de l’esprit pour se protéger du mystère vaste de l’être.
Derrière ce voile, il y a une essence, une lumière qui ne demande qu’à être vue. L’amour de soi n’est pas un amour pour l’histoire que tu portes, ni pour les masques que tu endosses. Mais une révérence à ce que tu es déjà... un éclat d’infini, une vibration d’amour qui n’a besoin d’aucune condition pour exister. L’autocritique, l’autodestruction, ces jugements sévères ne sont que des pensées passagères, des nuages glissant dans un ciel clair. Laisse-les passer. Tu n’es pas ces ombres. Tu es le ciel... Tu es la lumière... Tu es l’espace infini.
L’amour de soi... c’est un plongeon dans cet espace... reconnaître la lumière qui brille en toi... au-delà des masques... au-delà des histoires. Les jugements, les doutes, les blessures ne sont que des vagues éphémères. Goûte la paix de les laisser aller. L’amour véritable n’est pas une quête, mais un retour à l’essence, un abandon des illusions pour embrasser ce qui est.
Dans la rencontre avec autrui, un miroir se dresse. Aimer l’autre, c’est toucher l’amour en soi. Non pas à travers les yeux d’un autre, mais dans la résonance d’une présence partagée. Chaque échange, chaque regard, est une invitation à voir l’amour qui t’habite. Contemple l’autre sans chercher à le posséder, et tu te découvriras toi-même, vibrant, uni, complet.
Prends un instant, maintenant. Assieds-toi dans le silence. Observe les pensées qui surgissent ... "Je ne suis pas assez", "je suis trop" . Observes ces vaguelettes. Goûte la douceur de l’instant où tu te reconnais, sans effort, sans rôle. L’amour de soi, c’est glorifier l’éternel en toi, l’amour que tu es. Ouvre cette porte. Le chemin est là, dans la lumière tendre de ton propre cœur.
Soyons fous, soyons "sages"... rions joyeusement de nos sérieux éphémères.
Elsa - Soul's bloom- 2025
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Quand l’automne drapé de brumes fraîches enlace la terre, la peau, tel un feuillage délicat, peut s’éteindre sous le voile de l’humidité et du froid. Terne, rugueuse, elle appelle un rituel doux, vibrant, pour raviver son éclat. Inspiré par les murmures de la nature et les savoirs ancestraux, ce gommage à la citrouille et à la cannelle est une caresse poétique, un élixir d’automne pour choyer votre enveloppe charnelle. Les présents de la terre : les ingrédients Dans ce ballet végétal, chaque ingrédient chante sa partition : 3 cuillères à soupe de purée de citrouille, joyau doré des champs d’octobre, gorgée de vitamines A et C. Telle une brise légère, elle exfolie en douceur et offre ses antioxydants pour protéger la peau des caprices du vent automnal. 2 cuillères à soupe de sucre de canne, cristaux bruts nés de la sève sucrée, qui dansent sur la peau pour polir délicatement ses aspérités. 1 cuillère à café de cannelle en poudre, épice chaude au souffle vivifiant, qui réveille la circulation et ranime l’éclat, comme un feu follet dans la forêt. 1 cuillère à soupe d’huile de coco, nectar soyeux des tropiques, qui enveloppe la peau d’un voile hydratant et protecteur, tel un cocon de douceur. Une alchimie sensorielle Dans un bol de bois ou de terre, mêlez ces trésors avec soin, jusqu’à ce qu’une pâte onctueuse naisse sous vos doigts. Sous la douche, lorsque l’eau tiède murmure sur votre peau, offrez-lui ce baume automnal. Appliquez la préparation en mouvements circulaires, comme une danse lente et bienveillante, laissant chaque grain caresser et réveiller l’épiderme. Puis, rincez abondamment, laissant l’eau emporter les impuretés et révéler une peau neuve, vibrante . Une renaissance automnale Ce gommage, tel un poème gravé dans la chair, libère la peau des cellules mortes, polissant son grain avec une tendresse infinie. La citrouille, étoile des récoltes, infuse ses vertus antioxydantes, dressant un rempart contre les assauts du froid. La cannelle, épice ardente, stimule la circulation, ravivant l’éclat comme une aube dorée. L’huile de coco, fidèle gardienne, hydrate et protège, laissant la peau douce comme une feuille caressée par la rosée. Une fois par semaine, offrez-vous ce rituel pour une peau lumineuse, prête à danser sous les rayons pâles de l’automne. Que ce gommage soit une célébration de la saison, un instant où votre corps s’accorde aux rythmes de la terre, vibrant au diapason de ses couleurs et de ses parfums.

Ce matin, une douce impulsion me guide à partager avec vous une pratique vocale d’une simplicité désarmante, mais d’une profondeur insoupçonnée. Le fredonnement, ce doux murmure intérieur, est bien plus qu’un simple son : c’est une clé pour harmoniser le corps, l’esprit et l’âme. Accessible à tous...

Dans le sublime silence, là où le monde se tait et se replie sur lui-même, un point émerge. Un point, si petit, si discret, pourtant si vaste dans son essence. Il est le commencement, l’écho d’une rencontre entre un outil et une surface, entre l’intention et la matière. Ce point, isolé, solide, stable, immobile, porte en lui l’introversion d’un univers en gestation. Il ne crie pas, il ne s’impose pas, il est, simplement. Ce point... est l’étincelle de l’être. Il ne cherche pas à se justifier car il est déjà complet. Pourtant, dans son immobilité apparente, il vibre d’une nécessité intérieure, une pulsation silencieuse qui murmure : "crée, deviens, révèle". De cette graine minuscule naît une œuvre, une expression de l’âme qui se déploie sans effort, comme une rivière suit son lit naturel. L’autonomie du point n’est pas une solitude froide, mais une liberté féconde, un espace où tout peut advenir. Dans ce silence, il n’y a ni urgence ni manque. Le point ne court pas après le monde car le monde est déjà en lui. Il est l’origine et la destination, le commencement et l’achèvement. Lorsqu’il s’ouvre, il ne se perd pas... il se donne. Et dans ce don, une œuvre prend forme, non pas pour prouver, mais pour chanter l’évidence de l’être. Ainsi, dans la simplicité d’un point, tout est dit. Il suffit de s’arrêter, d’écouter, de sentir. La surface matérielle n’est qu’un miroir ; l’outil, une extension de la main intérieure. Et l’œuvre ? Elle est le souffle de l’éternel, dansant dans le temps, née d’un silence qui jamais ne s’éteint.

Je vous propose une recette de boules d’énergie conçue pour nourrir le corps et l’esprit tout en respectant l’équilibre énergétique naturel. Ces petites bouchées sont une alternative saine aux snacks industriels, idéales pour un regain d’énergie durable lors des pauses au travail, à l’école ou après...




